Je continue ailleurs mais il est évident que c'en
Je continue ailleurs mais il est évident que c'en est devenu trop égocentriquement intime au sens propre du terme.
Je continue ailleurs mais il est évident que c'en est devenu trop égocentriquement intime au sens propre du terme.
Je disais quoi moi, je ne sais plus.
Hier, pour la première fois, haha, j'ai remarqué la diffusion d'un de mes textes sur un blog, étrange. Il y avait des liens, fort heureusement. Ca fait un peu plaisir, et ça énerve aussi. Surtout que je ne me suis pas rendue compte tout de suite que cette phrase, cette petite phrase, venait de moi.
Et puis vous savez, la mort c’est tellement si simple qu’à 5 je pourrais avoir crevé.
1. 2. 3. 4. 5.
Ah, finalement, non.
Moi tout ce que j'aime dans la vie, c'est mettre des perruques, me farder et me vêtir comme les gens étranges, personne que je suis surement, personne qui laisse des alumettes se consumer sur sa langue. J'aime peindre pour me démantibuler, écrire pour immiscer au compte goutte chaque morcellement de mon ego dans ceux que je crée de mes doigts, j'aime jouer, jouer la comédie, mentir à ceux que je n'aime pas dans le seul but qu'il me haissent ou me craignent, et chercher désespérément une once de talent, de mentalité potable, ici bas. J'aime croire que je pourrais être une grande dame, coller sur la porte de mes chiottes une pancarte Toilettes pour artistes.
Ce que j'écris ici, peu y ont accès, c'est assez bien foutu tout de même ca je peux ainsi écrire que Marine me sort par les trous de nez pour parler vulgairement.
Oui, depuis toute petite, j'ai toujours adoré les salles, les grandes salles aux plafonds hauts avec des murs beiges et décrépis, remplies de tringles avec des déguisements dessus, des trucs crasseux minables ou étincelants comme dans la réserve du Tns de Strasbourg où j'allais tout le temps. Quand j'étais gosse j'allais ouvent au théâtre pendant que les autres regardait Walt Disney, je pensais qu'eux aussi ils conaissaient Molière et Ionesco, oui, je le pensais. L'enfance, c'est l'absence de prétention; maintenant même, je lutte pour demeurer stable, osocillant sur le fil. Quand j'étais gosse je n'allais pas à l'école, je voyais mes amis partir des gueules de pain de mie- grille pain et moi j'restais, chez moi, ça a duré 12 ans, avant que je découvre les grandes salles avec des plafonds hauts, aux murs décrépis, mais remplies de tables, de chaises, de gens désespérants et absolument pas déguisés, très mauvais acteurs et mauvais joueurs. Mon imagination m'avait joué des tours sur l'attitude des professseurs, je pensais que les femmes étaient toujours grandes et brunes, comme ma mère. Ma mère qui nous emmenait au fort rapp, au théâtre - et à l'opéra! - ma mère qui laissait des polaroïds sur les paliers de portes des gens qu'elle avait pas envie de voir. Ma mère qui nous avait fait faire le tour de France en combi Wolkswagen, avec des cassettes de Louise Attauqe, puis William Sheller, hin hin. Et puis on allait voir les autres gosses, les fils de babas ou d'anars, et aussi ceux à l'école libertaire Bonaventure, où je regardais le maître avec son iroquois rougen, et son clébard, qui nous parlait pédagofie. Ma mère a fait de moi une gamine barge qui chantait les rois de France, une pauvre dégénérée, partie de travers dans la vie, si bien partie en somme - ou pas. Qu'est-ce qui vaut mieux, être comme eux, insignifiants mortels, ou bien creusés des sillons de la différence, martyrs marginaux qui jamais ne pourront se sentir autre que des étrangers? A choisir, moi je préfère le théâtre à Walt disney, les rois de France aux Spice Girls, le tour de France en combi plutôt que les sorties scolaires à la Grande Motte. Il ne fallait pas que j'en vienne à parle de mon enfance, sinon, j'en disserterai des pages, même si y'a ce rideau qu'à fait qu'un jour je me suis retrouvée inondée dans ces salles à plafonds hauts, celles qui n'avaient pas de tringle,s celles dans lesquelles on ne pouvait pas jouer à cache cache derrière les portants. Moi, tout ce que j'aime dans la vie, c'ets porter des perruques et des chapeaux pour être ubique, pour être des personnages de roman, pour être les grandes héroïnes à talons ou les petits mecs tatoués, pour me dédoubler, me diviser.
Regarde c'que j'ai fait à force de parler de ça.
J'aurais aimé être bourrée de talent, comme certains autres sur lesquels je bave sur deviantart. Ce blog à la base dépotoir à textes-détritus non publiés est devenu un sale journal de merde, hein, ma vie est tellement palpitante.
Non, evidemment, je ne sniffe pas je ne bois pas & je ne baise pas, qu'y a t'il d'intéressant à cela?
Ironie maladive. (Je préfère préciser.)
Ce nouveau petit lycée me fait l'effet d'un cocon, ou presque. Les gens ont tous la tête à l'endroit, ou s'il y a des exceptions je n'ai pas la chance de les connaitre. Malgré le fait qu'ils soient des braves bêtes sans discernement qui croulent sous leurs sacs et leurs sorts comme des christs sous la croix, ignorant la pauvre vie qu'ils se concoctent dans un coin douillet qu'on peut apeller Habitude, Vice ou Servitude, malgré eux, je pense que c'est déjà mieux.
Edit: Je fus interrompue par Mathilde, j'ai mal aux muscles. Sabine vient ce soir, je vais voir Axelle France-Lise Julien Pierre Clémentine & Stéphan pendant ces vacances qui ont commencé ce matin. Fumer un gros cigare dans ma chambre comme dans le bon vieux temps, ça me manque, je vais renouveler tout ça. Je me pose à côté de la vie énormément de questions. Iol faudrait que j'arrête un peu de vivre trop pour y réfléchir un peu.
Virus de société.
Petite bête toute fade, petit glaçon froid sous les joues et entre les dents, j'ingurgite plus que je ne déguste, je siffle, je tousse, je m'étouffe, je dégorge. Mon jus est amer, liqueur, parfum d'orange chaude dans ma théière, avec des petites bougies partout, mon chapeau et mes lunettes de star. Ce nouveau lycée, et ces gens qui me conaissent, que je connais aussi un peu, qui me pincent le bras quand je passe devant eux, et la fille avec son oeil brun et son oeil bleu. Soit, tout le monde ne peut concorder avec mon idéal, ej me contente, de cette espèce de fumée volatile, de ce fumigène qui fait pleurer les yeux et qui fait que j'appuie un peu partout sur mon clavier, un peu partout à la fois, ça fait des mots, des trucs comme ça, plus ou moins beaux, plus ou moins vrais, on s'en fout. Mon professeur d'espagnol sucks.
Avec Mathilde nous avons émis une théorie déconcertante. Être bizarre est un luxe. Oui, les gens riches, les gens riches ont toujours un grain, toujours l'occasion de se permettre de partir en vacances en plein milieu du mois d'octobre pour aller capturer des flamands roses en montagne, pour aller s'acheter des cigarettes puis les donner à un clochard et retourner en acheter après, en fumer une, donner le paquet à un autre clochard puis aller acheter des patchs dont ils savent très bien qu'ils ne seront jamais ouverts, aller se teindre les cheveux en vert et rouge. Parce que selon moi l'étrange, c'est le goùt et le comportement, cette personnalité qui fait que tu as des réactions si étaranges si intattendues, et un gout pour les choses qui vont à l'encontre de ce que les gens aiment, c'est la contradiction, la finesse d'esprit, comment dire, je ne sais pas. Pour moi c'est comme le saint Grâal. Et moi, décidément, des gens pas comme ça, des désespérés de la conformité, j'en ai bouffé à la petite cuillère, à la louche, à la pelle, à la tractopelle, Merci bien!
Dédicaces, interviews, passages à la télé, dans le journal et dans les feuilles de choux locales. Coups de téléphone, mécènes. Si c'est ça, d'écrire, merci bien. Entre temps hier Yann m'a écrit. Je cite:
"Dans ma recherche du
dénigrement collectif de la part de tous les gaillards et gaillardes du bahut,
j'ai pensé à les choquer avec un truc qui choque personne... en Russie. Ils
n'aiment guère les chapkas, surtout lorsque je m'affuble d'elle lors des rudes
matins hivernaux Français. Excellent. Mais il y a un truc très subtil à
remarquer. Si je passe à quelques centimètres d'eux, ils me déballent leur
culture très pointue sur le pays des milles et uns goulags. "Vokda ! Naz Drowie
! Sibérie ! Staline ! Poutine !" (et j'en passe d'autres) sont diverses
onomatopées que leurs esprits ne peuvent contenir en me voyant. J'aime.
Qu'auraient-ils bien pu te dire si tu t'étais pointée au lycée avec le fameux
masque à gaz ? "Verdun ! Action man ! Auschwitz ! Flatulence (ooh, c'est beau
ça)"... Le mystère restera entier.
Lors d'un aller en direction de l'Hexagone
(le bâtiment, pas le pays, mais tu l'avais compris, et puis ma gueule) j'ai eu
droit au mirifique, et peut-être ironique (et je pèse mes mots) : "Fils de riche
!". Le capitalisme, c'est l'exploitation de l'Homme par l'Homme, le communisme,
c'est l'inverse, voilà qui devrait résumer le point de vue les dominant. M'enfin
ce sont surtout les foutbalheures qui s'amusent. C'est beau de contribuer à leur
satisfaction, je leur donne mes salutations distinguées, bien profond dans leurs
flores anales évidemment.Sinon, les autres ne changent guère, comme les professeurs.
C'cool hein
? De quoi donner envie d'enculer un poulpe tchécoslovaque.
Pour le reste tu
dois bien t'en foutre aussi. Diogène de Sinope ! Avoir cité le poulpe fait
ressortir ce mec peu connu mais tout à fait génial. En effet il s'est étouffé
avec ce genre de mollusque lors d'un repas. Une mort classe quand même ? À
essayer.
En dehors des cours, rien. Ah si ! On me propose souvent d'aller
à d'étranges concerts précédant des fêtes alcoolisées durant lesquelles je
pourrais me "mettre des races". N'ayant pas compris la signification de cette
expression, j'en déduis approximativement que les spiritueux seront distribués
sans fins pour mieux nous faire dégueuler. Cool. Alors je glande nul part dans
ma ville déserte. Parfois je m'arrête devant un arbre et je me dis : "Merde, tu
t'es gouré de chemin.".
Ce garçon est un génie.
.
La honte d'écouter Damien Saez mais je fais ma rebelle prépubaire et j'ai innondé consciencieusement la salle de bain de ma mère alors qu'elle faisait croire que je faisais une crise d'épilepsie. Et puis j'ai écrit sur les murs. Comme c'est puéril, et merde, tant pis alors là, je m'en contrefous. J'ai fait un superbe dessin, eh oui, c'est tout ce que je fais en ce moment, des dessins. Des gens avec des jambes immenses, des mollets démesurés, des visages carrés et émaciés. Et je hais qu'on compare à Burton.
Avec plus ou moins la tête ailleurs, la main sur le coeur ou le coeur sur la main? On ne se changera pas en chimères dès demain, dès demain non, il nous reste le jour pour ça. Futile. Futile au masculin, au féminin, au pluriel, au présent continu, continue toujours. Je me biberonne à l'absurde, et à Noir Désir. Des demoiselles sur des éléphants, des ambidextrocéphales et des tourne-disques avec de l'eau verte qui dégouline. Un deux trois quatre, Broken Bird, crève nous les trois d'un coup. La vraie raison humaine, celle avec des cheveux dans la bouche, des traces d'ongles sur les chevilles et des piqûres de zèbre sur les hanches, ne se gobergerait-elle pas du pouvoir d'achat et du cours de la bourse? Ernestine, j'en ai connu des plus fines, un peu moins sûres de leur loi. A la longue, à la longue, on attendrait pas un peu Godot par hasard? Non, on lèche les graines de sucre répandues par terre en chantant la marseillaise, certains sucent leurs caramels au Lsd pour mieux sentir le sol s'effriter sous leurs pieds, putain! Et moi, et moi, un peu moins sûre de ma loi et de mes points de suture, à vrai dire, je ne suis un clou.
Le clou.
J'y pense, décembre, janvier, et puis mars en attendant l'avril, la saison des crocodiles, avril, absurde, et puis les suivants, aussi peut-être. C'est toujours: Appréciable et mentalement délectable. Mais souvent, ce qu'on a derrière la peau de la tête, ça se troque pas, c'est comme les yeux, c'est comme les souvenirs. Un troupeau de bonapartes passe dans le désert, l’empereur s’appelle Dromadaire, il a un cheval caisse et des tiroirs de course. Au loin galope un homme qui n’a que trois prénoms, il s’appelle Tim-Tam-Tom et n’a pas de grand nom. Un peu plus loin encore il y a n’importe quoi, beaucoup plus loin encore il y a n’importe quoi. Et puis qu’est-ce que ça peut faire tout ça? - Mon ami Prévert.-
Ce qu'on a derrière la peau du crâne ça se révèle finalement assez, assez aléatoirement fiable.
Oui, tu as vu Marie de quoi on part pour faire des aussi moches photos? La première est au dessus de mon lit.
Comme j'aimerais comprendre un peu plus le monde avant d'avoir à cracher sur la pluie la nuit le ciel et les intempéries. J'aimerais bien dire, I know, I swallow. Et des trucs comme ça. Je parle à Ombeline, et pardonnez-moi, mais si je puis me permettre: <3 Oui, cette demoiselle exécrable mais absolument hilarante mérite bien ça; à notre année passée, ouais, on avait un aimant dans le dos tu ne crois pas? Bon allez moi j'prends place dans le tramway rond, et puis voilà, qui vivra verra, en tout cas ce soir il pleure fort dehors, on s'en fout, moi j'ai des scarabées qui font la ronde devant ma porte.
Souvent, pour s'amuser, les hommes d'équipage
Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers,
Qui suivent, indolents compagnons de voyage,
Le navire glissant sur les gouffres amers.
A peine les ont-ils déposés sur les planches,
Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux,
Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches
Comme des avirons traîner à côté d'eux.
Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule!
Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid!
L'un agace son bec avec un brûle-gueule,
L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait!
Le Poète est semblable au prince des nuées
Qui hante la tempête et se rit de l'archer;
Exilé sur le sol au milieu des huées,
Ses ailes de géant l'empêchent de marcher.
Baudelaire.
Demain c'est transbahute, après demain idem et le jour suivant c'est P a r i s .
Oui, Allez allez froide petite France sans rancune et Tchin! à nos retrouvailles. Comme je suis contente. J'appréhende un petit peu, mais après il y a R o u e n, A u t u n. Et voilà. J'aurais aimé Eric pour modèle, mais tant pis.
J'adore Rouen. C'est grand mais assez petit pour que je puisse y déambuler seule entre la rue du Gros Horloge et les pavés blanc de la place, moi j'adore croiser des Skinheads et les saluer de la tête et prendre en photo tout et n'importe quoi, surtout quand ça marche dans la neige et que ça me rappelle la Sonate au Clair de lune: n'importe quoi comme toi, comme vous, comme un peu tout ce qui est vivant à Rouen. Et puis ça veut dire aussi DOc Martens le retur et rien que ça ça me plait.
Je vous aime bien.
Cette nuit, je fus si las, si désespérée et si intensément emplie d'un long sentiment de haine pour chaque représentant de l'espèce humaine qu'il me semble ne jamais avoir eu un tel désir de génocide. J'ai fini seule dans mon sweat sous la pluie , drue et tiède, trempée à sauter dans les flaques avec un gout de cigarette entre les dents. Je ne vous aime plus.
Ce matin, que dire; Je lisais et dans ces cas là rien n'a plus d'importance.
Ce soir, je sais, que l'importance dépend de mon Havre.
Il y a une chose qui est bien plus étrange que moi même encore, bien plus étrange que ces trucs qu'on croit voir dans le ciel mais qui ne sont en fait que ces merveilleux nuages, ces merveilleux mirages, Les Chiens Le Désir Et La Mort. Bien plus étrange que le dérisoire, que les accesssoires, que la paranoïa, que la schizophrénia. Ce truc ce sont les autres, les autres et leurs silences là où je n'en placerais pas, ces autres et leurs expressions étranges et leurs trahisons inattendues, ou bien leurs sourires en coin, leurs petites questions cachées et leurs intentions sourdes.
Comme celle, de ce matin, de cet autre. Les gens, c'est ma seule vraie passion, mais seulement les gens avec des guyzpov* dedans.
* je me comprends.
Braves gens, aussi étranges que vous m'êtes, je vous aime.
J'ai terminé: J'irai Cracher Sur Vos Tombes, L'équarissage Pour Tous, Les Morts Ont Tous La Même peau, Le Goûter Des Généraux.
Au fond, à quoi ça mène tout ça, ces masacarades et ces retournements , ces coups de théâtre et ces dénouements? Tous les chemins mènent à Rome, ouais, qu'on soit Reubeu Rital Froggy Boche Anglishe ou Néanderthal, on en est tous là, planté vie à la main à ne pas trop savoir quoi en faire, tous les chemins mènent au rhum, la date de péremption mon p'tit, ben tu la connais pas. On est tous pareils, Salut à toi qu'est au violon, Salut à toi et mort aux cons! La marginalité fondamentale, on l'a inventée, parce qu'au fond de l'emmental, tout ce qui ressort, ce ce vieux mot : Vital. C'est ce vieux mot que tu crois lire sur les négatifs des vieilles photos méconaissables et sur les éponges délavées, c'est ça sur lequel tu crache, j'ai la dalle.
A vrai dire, Vous êtes perdus, on va vous aider: Vous êtes ici, vous êtes paumé en plein milieu de la vie. Les papes vous dirons d'aller user vos genoux de futal en jouant aux grenouilles de bénitier, y'a 80% de chances que tu te dalles, que tu trébuches sur leurs tapis poussièreux. Les z autres diront, va chercher au fond d'un bouteille de Cognac, dans un bédo, dans un vagin. Ils te diront au coeur de la vitesse, au creux de l'angoisse, dans les méandres des respiration coupées et du souffre, des échecs et mats, et des éprouvettes graduées, que ne sais-je moi, dans les obsèques du Roi d'Agobert ou dans sa garde-robe, on a beaucoup cherché. Mais on suit tous, tous cette longue trace de sang sur le parking, cet acide acrimonique, cette huile essentielle prénatale, ce formol, absinthe, soude, eau pétillante, anti moustique, distillé dans la grande tabatière cérébrale. Les mecs, tous les chemins mènent à Rome n'empèhe que des chemins y'en a des sacrés, y'en à a pas louper, au risque que, bah, la route soit bien trop moche pour pouvoir te dire : C'est tellement plus agréable d'être haï par ces personnes que l'on n'a jamais estimé.